Le Système Solaire
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LA LUNE
La lune est un satellites naturel de la Terre
(détails sur les satellites naturels)
La Lune est l'unique satellite naturel de la Terre. Elle est le cinquième plus grand satellite du Système solaire, avec un diamètre de 3 474 km. La distance moyenne séparant la Terre de la Lune est de 384 467 km.
La Lune est le premier et le seul objet non terrestre visité par l'Homme. Le premier à y avoir marché est l'astronaute Neil Armstrong le 21 juillet 1969. Après lui, onze autres hommes ont foulé le sol de la Lune, tous membres du programme Apollo.
Influence gravitationnelle sur la Terre
Parmi les influences les plus connues, des plus réelles aux plus romantiques, citons :
Orbite
Dans la représentation la plus simple, on peut dire que la Lune a une orbite
elliptique autour du centre de la Terre (conformément aux lois de Kepler), qui lui-
La période de rotation de la Lune est la même que sa période orbitale et elle présente donc toujours le même hémisphère (nommé «face visible de la Lune») à un observateur terrestre (l'autre hémisphère est donc appelé «face cachée de la Lune»).
Cette rotation synchrone résulte des frottements qu’ont entraînés les marées
causées par la Terre à la Lune, et qui ont progressivement amené la Lune à ralentir
sa rotation sur elle-
Explications simplifiées
Explications complètes
LA LUNE
LA LUNE
La Lune est l'unique satellite naturel de la Terre. Suivant la désignation systématique des satellites, la Lune est appelée Terre I ; cependant en pratique cette forme n'est pas utilisée. Elle est le cinquième plus grand satellites du Système solaire, avec un diamètre de 3 474 km. La distance moyenne séparant la Terre de la Lune est de 384 467 km.
La Lune est le premier et le seul objet non terrestre visité par l'Homme. Le premier à y avoir marché est l'astronaute Neil Armstrong le 21 juillet 1969. Après lui, onze autres hommes ont foulé le sol de la Lune, tous membres du programme Apollo.
Influence gravitationnelle sur la Terre
Parmi les influences les plus connues, des plus réelles aux plus romantiques, citons :
-
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Orbite
Dans la représentation la plus simple, on peut dire que la Lune a une orbite
elliptique autour du centre de la Terre (conformément aux lois de Kepler), qui lui-
La période de rotation de la Lune est la même que sa période orbitale et elle présente donc toujours le même hémisphère (nommé «face visible de la Lune») à un observateur terrestre (l'autre hémisphère est donc appelé «face cachée de la Lune»).
Cette rotation synchrone résulte des frottements qu’ont entraînés les marées
causées par la Terre à la Lune, et qui ont progressivement amené la Lune à ralentir
sa rotation sur elle-
Les points où l’orbite de la Lune croise l’écliptique (plan orbital de la Terre) s’appellent les «nœuds» lunaires : le nœud ascendant est celui où la Lune passe vers le nord de l’écliptique et le nœud descendant est celui où elle passe vers le sud.
Formation
De nombreuses hypothèses ont été émises sur la formation de la lune. Mais, seulement rois hypothèses sont généralement acceptées et forment aujourd'hui le cadre conceptuel de l'origine et de l'évolution de la Lune.
Hypothèse de l'impact géant
Une collision entre la Terre en formation (proto-
Mais en 2012 l'analyse d'échantillons provenant des missions Apollo montre cependant que la Lune a la même composition isotopique du titane que la Terre, ce qui va à l'encontre de la théorie de l'impact géant.
Hypothèse de l'océan magmatique lunaire
À la suite de l'impact géant, une grande quantité d'énergie a été produite qu'il est probable que la surface de la Lune consistait alors en un vaste océan de magma, sur une profondeur de plusieurs centaines de kilomètres. La cristallisation et la différenciation de ce magma lors de son refroidissement ont formé la croûte et ses roches anorthosiques typiques, ainsi que le manteau lunaire tels que nous les connaissons aujourd'hui.
Les hauts plateaux et chaînes de montagnes qui culminent à plus de 3 000 mètres sur la face cachée (dont la croûte est nettement plus épaisse, de 20 km environ) pourraient résulter des retombées de débris projetés lors de la formation du bassin d'Aitken (grand bassin d'impact situé au pôle Sud lunaire.
L'hypothèse du grand bombardement tardif
Cette hypothèse suppose que la surface de la Lune a été abondamment et violemment bombardée, il y a à peu près 4 milliards d'années, pendant environ 200 millions d'années, par un grand nombre de météorites ou comètes. Les plus grands cratères ou bassins lunaires proviendraient de cet épisode cataclysmique.
À l’exception de Mercure et de Vénus, toutes les planètes du Système solaire possèdent des satellites naturels qualifiés de lunes. Jupiter et Saturne, de leur côté, en possèdent respectivement 67 et 62, de tailles et de formes très variées, mais quelques uns de taille similaire à la Lune (Ganymède, Io, Callisto et Europe pour Jupiter, Titan pour Saturne, Triton pour Neptune). Dans les années 1970, on connaissait 32 lunes dans le Système solaire, on en distingue aujourd’hui plus de 140.
Formation
De nombreuses hypothèses ont été émises sur la formation de la lune. Mais, seulement rois hypothèses sont généralement acceptées et forment aujourd'hui le cadre conceptuel de l'origine et de l'évolution de la Lune.
Hypothèse de l'impact géant
Une collision entre la Terre en formation et un objet de la taille de Mars dénommé Théia, aurait éjecté de la matière autour de la Terre, qui aurait fini par former la Lune que nous connaissons aujourd’hui. Cet impact est estimé à 42 millions d’années après la naissance du Système solaire, soit il y a 4,526 milliards d’années, pendant la période d'intense bombardement initial ayant donné lieu à la formation des planètes telluriques.
Mais en 2012 l'analyse d'échantillons provenant des missions Apollo montre cependant que la Lune a la même composition isotopique du titane que la Terre, ce qui va à l'encontre de la théorie de l'impact géant.
Hypothèse de l'océan magmatique lunaire
À la suite de l'impact géant, une grande quantité d'énergie a été produite qu'il est probable que la surface de la Lune consistait alors en un vaste océan de magma, sur une profondeur de plusieurs centaines de kilomètres. La cristallisation et la différenciation de ce magma lors de son refroidissement ont formé la croûte, ainsi que le manteau lunaire tels que nous les connaissons aujourd'hui.
L'hypothèse du grand bombardement tardif
Cette hypothèse suppose que la surface de la Lune a été abondamment et violemment bombardée, il y a à peu près 4 milliards d'années, pendant environ 200 millions d'années, par un grand nombre de météorites ou comètes. Les plus grands cratères ou bassins lunaires proviendraient de cet épisode cataclysmique.
À l’exception de Mercure et de Vénus, toutes les planètes du Système solaire possèdent des satellites naturels qualifiés de lunes.
Les phases lunaires
Du fait de sa rotation synchrone, la Lune présente toujours quasiment la même partie de sa surface vue de la Terre : la face dite «visible». Mais la moitié de la sphère éclairée par le Soleil varie au cours des 29,53 jours d’un cycle synodique, et donc la portion éclairée de la face visible aussi.
Ce phénomène donne naissance à ce que l’on appelle les phases lunaires, qui se succèdent au cours d’un cycle appelé «lunaison». Ces lunaisons ont été ou sont encore utilisées par plusieurs cultures et civilisations pour construire leurs calendriers annuels. On parle alors de calendrier lunaire.
Les phases lunaires
Du fait de sa rotation synchrone, la Lune présente toujours quasiment la même partie de sa surface vue de la Terre : la face dite «visible». Mais la moitié de la sphère éclairée par le Soleil varie au cours des 29,53 jours d’un cycle synodique, et donc la portion éclairée de la face visible aussi.
Ce phénomène donne naissance à ce que l’on appelle les phases lunaires, qui se succèdent au cours d’un cycle appelé «lunaison». Ces lunaisons ont été ou sont encore utilisées par plusieurs cultures et civilisations pour construire leurs calendriers annuels. On parle alors de calendrier lunaire.
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La surface de la lune
La lune n'a pas d’atmosphère ce qui permet une très grande amplitude thermique,
la température passant de -
Le champ magnétique de la Lune est très faible et fortement variable suivant la région considérée.
La surface de la Lune nous est bien connue aujourd’hui. Les sondes en orbite l’ont cartographiée de façon très précise et une analyse détaillé de ses roches a été effectuée, soit sur place par quelques sondes, soit sur Terre grâce aux échantillons retournés.
Les deux éléments qui caractérisent la surface lunaire sont la présence d’une multitude de cratères de toutes tailles et celle d’immenses étendues sombres, appelées les mers lunaires.
Depuis la Terre, plusieurs dizaines de milliers de cratères d’un diamètre supérieur au kilomètre sont visibles. Les sondes ont quant à elles révélé des millions de cratères de plus petite taille.
La surface de la lune
L’atmosphère de la Lune est très ténue, avec seulement quelques traces de gaz rares comme l’argon, le néon ou l’hélium. La gravité de notre satellites est en effet trop faible pour retenir une atmosphère significative et le vent solaire a depuis longtemps balayé les quelques traces résiduelles.
Cette absence d’atmosphère est responsable d’une très grande amplitude thermique,
la température passant de -
Le champ magnétique de la Lune est très faible et fortement variable suivant la région considérée. L’analyse des roches lunaires a cependant révélé que la Lune a connu un champ plus fort à une époque où son noyau de fer était liquide et en rotation. Ce champ a cependant presque entièrement disparu car le noyau s’est finalement refroidi et solidifié.
La surface de la Lune nous est bien connue aujourd’hui. Les sondes en orbite l’ont cartographiée de façon très précise et une analyse détaillé de ses roches a été effectuée, soit sur place par quelques sondes, soit sur Terre grâce aux échantillons retournés.
Les deux éléments qui caractérisent la surface lunaire sont la présence d’une multitude de cratères de toutes tailles et celle d’immenses étendues sombres, appelées les mers lunaires.
Depuis la Terre, plusieurs dizaines de milliers de cratères d’un diamètre supérieur au kilomètre sont visibles. Les sondes ont quant à elles révélé des millions de cratères de plus petite taille.
L’origine des cratères a très longtemps suscité un débat entre adeptes d’une origine volcanique et partisans d’une origine météorite, mais c’est finalement cette dernière option qui a été retenue dans la majorité des cas.
Des cratères de toutes tailles sont présents car aucune atmosphère n’empêche les petites météorites d’atteindre le sol. De plus, la surface lunaire n’est soumise ni à l’érosion, ni à la tectonique des plaques, et ces cratères ont donc des milliards d’années devant eux.
Cartographie de la lune
suivez la flèche !!!
FACE CACHÉE
ben voilà ! C'est fini pour la lune.
J'espère que t'as appris plein de choses, mon frère !!!
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